Le passage par le droit international de la personne humaine pourrait apparaître comme un vecteur de durcissement des dimensions non économiques de la mondialisation. Ainsi une « approche par les droits » s’est-elle développée au soutien de la protection des travailleurs, de la santé, de l’environnement ou encore et plus largement du développement. Elle se heurte pourtant à certains écueils qu’on étudiera provisoirement essentiellement en matière environnementale et climatique.